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9 avril 2018 1 09 /04 /avril /2018 20:54
Tenzin Gyatso, 14e Dalaï lama, ayant dû fuir la Chine et le Tibet occupé

Tenzin Gyatso, 14e Dalaï lama, ayant dû fuir la Chine et le Tibet occupé

Cette émission de Fabrice Drouelle s'est avérée très instructive car je ne connaissais pas toute l'histoire de cette fuite. Bien sûr, il faut se souvenir que la Chine était sous la coupe de Mao à cette époque. Le dalaï lama a du prendre très jeune des décisions cruciales pour l'avenir du Tibet.

De quel Tibet parle-t-on ?

Celui que représentent les Tibétains en exil, réfugiés et installés dans le nord-ouest de l’Inde ? Le Tibet définit dans le cadre de la République populaire de Chine ? Le Tibet comme entité géographique ? Comme espace culturel, étendue d’une civilisation ? Le Tibet espéré par les Tibétains ou le Tibet menacé par la mainmise chinoise ?   

Ce flou autour du Tibet a une date de naissance : le 17 mars 1959. Ce jour-là, Tenzin Gyatso, le quatorzième dalaï-lama, chef spirituel et temporel du Tibet, territoire sous contrôle de la Chine communiste depuis neuf ans, prend la décision de fuir son palais de Lhassa, la capitale, pour rejoindre l’Inde. Une longue marche vers l’exil, qui, derrière cette figure tutélaire incarne celui de tout un peuple. 

Quels sont les événements qui ont conduit à cette fuite ? Comment s’est déroulée cette longue marche ? Derrière l’image de compassion et de paix qu’incarnent les vertus bouddhiques, comment s’est organisée la lutte pour l’indépendance du Tibet ? De quelle manière le dalaï-lama s’est-il retrouvé confronté à ses devoirs de chef spirituel et de chef d’État ? Enfin, comment, ces quelques jours de 1959, ont fait basculé le Tibet dans une situation toujours d’actualité ? 

 

A écouter ici ou directement dans le lien ci-dessous : https://www.franceinter.fr/emissions/affaires-sensibles/affaires-sensibles-09-avril-2018

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28 mars 2017 2 28 /03 /mars /2017 20:23
Un témoignage en BD de la vie sous le régime des Khmers rouges avec L'année du lièvre de Tian
Un témoignage en BD de la vie sous le régime des Khmers rouges avec L'année du lièvre de Tian
Un témoignage en BD de la vie sous le régime des Khmers rouges avec L'année du lièvre de Tian

Je vous ai déjà sur ce blog retranscrit le témoignage d'un Khmer qui nous avait ému aux larmes en racontant sa vie pendant la période khmère rouge.

 

L'auteur-dessinateur Tian (alias Chan dans la BD) nous raconte en images l'histoire de sa famille pendant la même période et cela en 3 tomes dans L'année du lièvre, publiée chez Gallimard (collection Bayou). L'histoire commence à Phnom Penh aux débuts du règne des KR et se termine avec la fuite en Thaïlande de (ce qui reste de) la famille, suivi de quelques pages sur leur vie à l'étranger.

 

L'auteur a le temps de rentrer dans les détails puisque son récit s'étale sur 3 volumes et l'on peut donc suivre les multiples pérégrinations de la famille (au sens large) jusqu'à l'arrivée à leur village final où ils seront amenés à travailler la terre comme la plupart des khmers de la ville. Il y donc aussi beaucoup d'explications sur le "système" khmer, son organisation mais aussi sur toutes les atrocités commises (principalement les meurtres sur des personnes de tous âges, oui même les enfants car "les mauvaises herbes il faut les arracher jusqu'à la racine !").

 

Le parcours de la famille de Tian est semblable à bien d'autres mais pourtant unique : exil forcé à la campagne (ils veulent rejoindre Battambang mais ne le pourront pas), séparation des familles, travail forcé, suspicion envers les "espions", deuils, cache de son métier, faim et souffrance et surtout la peur vissée au corps.

 

Ses dessins aux traits fins mais parfois hachurés baignent dans des tonalités vertes et ocres. Les paysages fourmillent de détails mais les traits du visage sont peu marqués, c'est ce qui m'a un peu géné parfois pour reconnaître les multiples personnages qui se croisent dans la BD. C'est toutefois un problème mineur aux vues des qualités de celle-ci.

 

Tian ne nous cache rien et c'est donc avec une grande émotion qu'on referme cette trilogie qui se conclue sur les effets à long terme sur les membres de sa famille, qui pour certains ne sont jamais retournés dans leur pays d'origine ou veulent totalement l'oublier.

Tian, lui, est retourné au Cambodge et conclut avec ce qui m'avait aussi frappé lors de mon voyage : le sourire khmer.

 

Pour en voir plus : le blog de l'auteur

Bande annonce du tome 2

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27 avril 2015 1 27 /04 /avril /2015 18:16

Grâce à KBS World radio, un site web nous en apprend beaucoup sur l'histoire de la Corée depuis  le 15 Août 1945, date de son indépendance.

En 20 dates clés, 20 émissions de radio, accompagnées d'un court texte, nous expliquent les dessous de la croissance et de la spectaculaire évolution de ce pays. Chaque émission fait une quinzaine de minutes et combine explications avec documents d'archives.

 

Un moyen original d'en apprendre plus sur ce pays un peu méconnu !

 

Seoul

Seoul

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9 août 2013 5 09 /08 /août /2013 18:54

On en parle moins, mais la seconde bombe atomique lancée sur le Japon a fait aussi beaucoup de dégâts et causé beaucoup de souffrance.

Une cérémonie souvenir s'est tenue aujourd'hui dans la ville en hommage aux victimes en présence du premier ministre.

N'oublions pas Nagasaki...

Pour en savoir plus :

Wikipédia

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5 juillet 2013 5 05 /07 /juillet /2013 18:04

Je termine de vous raconter ma journée du 2 juin dernier en évoquant un autre aspect du Musée Guimet.

En effet, j'ai pu profiter de ce merveilleux espace, de l'exposition temporaire qui s'y tenait et présentait des objets archaïques en bronze venus tout droit de Chine (et d'une collection privée). Ceux-ci étaient utilisées pour contenir des boissons fermentées, de l'eau et de la nourriture pendant des rituels.

Ce ne sont donc pas des objets de tous les jours et c'est pour cela que leur forme et décoration sont très travaillés. Pour des vases qui ont plus de 2000 ans, je les trouve superbes et d'un graphisme étonnement moderne pour certains ! L'exposition était magnifiquement éclairée, les objets étaient très bien mis en valeur. Il y avait peu d'explications mais elles suffisaient. Avec le temps, la taille des objets a augmenté, leur forme s'est diversifiée tout comme leur décoration. Ce travail artisanal m'a beaucoup impressionnée.

Comme overblog n'offre plus la possibilité de créer des albums photos, je suis obligée de les mettre toutes à la suite dans ce post (dsl).

Exposition Trésors de la Chine ancienne : bronzes rituels au Musée Guimet
Exposition Trésors de la Chine ancienne : bronzes rituels au Musée Guimet
Exposition Trésors de la Chine ancienne : bronzes rituels au Musée Guimet
Exposition Trésors de la Chine ancienne : bronzes rituels au Musée Guimet
Exposition Trésors de la Chine ancienne : bronzes rituels au Musée Guimet
Exposition Trésors de la Chine ancienne : bronzes rituels au Musée Guimet
Ce vase a servi pour l'affiche de l'exposition.

Ce vase a servi pour l'affiche de l'exposition.

Exposition Trésors de la Chine ancienne : bronzes rituels au Musée Guimet
Exposition Trésors de la Chine ancienne : bronzes rituels au Musée Guimet
Exposition Trésors de la Chine ancienne : bronzes rituels au Musée Guimet
Exposition Trésors de la Chine ancienne : bronzes rituels au Musée Guimet
Exposition Trésors de la Chine ancienne : bronzes rituels au Musée Guimet
Exposition Trésors de la Chine ancienne : bronzes rituels au Musée Guimet
Exposition Trésors de la Chine ancienne : bronzes rituels au Musée Guimet
Exposition Trésors de la Chine ancienne : bronzes rituels au Musée Guimet
Exposition Trésors de la Chine ancienne : bronzes rituels au Musée Guimet
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8 février 2013 5 08 /02 /février /2013 22:31

...ou presque ! Avec ces deux ouvrages complémentaires :

 

chine-1.jpg   chine-2.jpg

 

Le premier Tout ce que vous avez toujurs voulu savoir sur la Chine : guide visuel à destination des esprits curieux et pressés, écrit par Grégoire Basdevant et publié chez Hatier, a une approche essentiellement historique.

Après le rappel de quelques faits (c'est le pays le plus peuplé du monde, sa taille fait 15 fois celle de la France, l'ethnie Han représente 92 % de la population...) et cartes (image satellite, répartition des groupes ethniques), l'auteur remonte le temps du néolithique jusqu'à aujourd'hui.

Chaque chapitre énonce une ou deux faits simples et est illustré par une image. Tout est écrit très simplement mais en balayant l'histoire, on explique le système bureaucratique, le mandarinat, les religions, et on situe dans le temps l'invention de la porcelaine et l'imprimerie par exemple. Bien sûr sur la période récente, l'auteur explique les inégalités, les luttes de pouvoir, Mao, l'arrivée de l'économie libérale...

Bref, le mauvais est dit, tout comme le bon. L'auteur ne prend pas partie et dresse un portrait objectif de la Terre du Milieu ou Milieu de la Terre (selon la traduction qu'on peut faire des idéogrammes). Un bon petit livre facile à lire et efficace donc.

 

Le second ouvrage Chine : 365 us et coutumes écrit par Sophie Francoeur et Anne-Marie Cattelain Le Dû (éd. Chêne) fait partie d'une collection dont je vous avais déjà parlé. Le côté esthétique de l'ouvrage est très travaillé et la forme est semblable au précédent : une page = une information accompagnée d'une illustration.

Le livre est divisé en cinq grands chapitres : vie en société, histoires de famille, culture et loisirs, croyances et fêtes, vie privée. Comme le titre l'indique, les auteurs s'attachent aux habitudes des chinois (essentiellement des villes) dans leur vie de tous les jours mais aussi au cours de l'année et de la vie. En lisant cet ouvrage, vous apprendez donc ce que veut dire Ganbei !, ce qu'est le "mariage nu" et le qipao, quels sont les patronymes les plus communs et de quoi sont faits les gâteaux de lune... entre autres. Plein de petites choses qui nous permettent de mieux connaître la culture chinoise...

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22 février 2012 3 22 /02 /février /2012 22:56

Après vous avoir bien baratiné sur la période Khmers rouges, voici deux podcasts traitant de la "réconciliation". C'est en son nom que peu de KR ont été traduits en justice, la question ayant été évoquée d'ailleurs pendant les procès. Mais dans les faits est-ce aussi simple ? Peut-on vivre dans le même village qu'une personne qui est responsable de la mort de membres de sa famille ?

 

(19:02)

 

Certains trouvent la force de pardonner...

 

(02:30)

 

 

 

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15 février 2012 3 15 /02 /février /2012 22:47

 

      SL371677.JPGSL371673.JPG   Camp S-21 ©enviedasie

 

"Pendant quatre années, j'ai vécu dans un camp de travail à la campagne. Nous dormions sur des lits en bandes, à 60 cm du sol, dans un batiment non fermé. Comme il n'y avait pas de murs, nous étions à la merci des insectes et autres animaux. Il y a notamment une sorte de fourmi dont les mandibules et la tête reste accrochée à vous si vous la tuez. Nous avions aussi peur des serpents.

 

Nous avions deux repas par jour seulement et c'était essentiellement de la bouillie de riz. Nous avions faim car nous travaillions près de 15 heures par jour et même la nuit quand la lune brillait assez pour nous éclairer. A la saison des pluies, nous faisions pousser le riz. A la saison sèche, nous nous occupions des canaux et des digues pour les rizières.

 

Beaucoup de gens mourraient de maladie, de malnutrition ou d'éxécution. Au début, nous étions une centaine dans notre camp, à la fin une dizaine... on regroupait ceux qui restaient pour continuer le travail.

Il n'y avait pas de vrai médecin. Quand nous étions trop malades, on nous emmenait voir le "docteur" qui était une adolescente. Elle avait une seringue et trois fioles de couleurs différentes. Nous étions en rang, sans ordre précis, et elle commencait par faire des piqures avec le liquide de la première fiole, puis la seconde, et la dernière. Parfois, quand il n'y avait plus de liquide dans les fioles, on ordonnait au moins faible d'aller cueillir une noix de coco et on nous faisait une piqûre avec le lait de coco. Il n'y avait pas de désinfectant et la seringue servait à tous, alors certains faisaient des abcès.

 

Je n'aurais jamais pensé m'en sortir vivant, c'est un miracle car j'ai été malade... Mon dos a été brulé deux fois par le soleil, j'ai encore des cicatrices aujourd'hui. Ma mère et mes deux jeunes frères sont morts pendant cette période. Il est resté mon père, ma soeur et moi. Après la période Khmer rouge, j'ai pu reprendre mes études mais je n'ai pas pu suivre l'enseignement que je souhaitais. Je voulais faire médecine mais j'ai du faire des maths et entrer dans un institut de technologie où l'enseignement se faisait en russe.

 

Les khmers rouges ont volé ma jeunesse et ma vie."

 

Voilà, j'ai mis longtemps à écrire cette deuxième partie car c'était difficile de retranscrire le plus fidèlement ce témoignage. Je n'ai rien enlevé ni rajouté.

C'est mon guide à Phnom Penh qui a tenu à nous raconter sa vie quand nous nous sommes rendu au camp S-21 (photos ci-dessus et ) où des milliers de cambodgiens ont été torturés et tués (hommes, femmes et enfants !). Je ne vous dirai pas son nom, juste l'initiale de son prénom : S. Pourquoi ? Parce que de nombreux anciens KR sont au pouvoir aujourd'hui au Cambodge et que je voudrais pas qu'il "finisse aux crocodiles" comme d'autres. Surtout qu'il est marié et a une fille.

Libres à vous de le croire et me croire. Moi je le crois, car il nous a raconté cela avec une grande émotion, d'une traite, avec parfois les larmes aux yeux. De plus, son histoire ressemble à celle de beaucoup d'autres (Hour Chea, Navy Soth, Ong Thong Hoeung...) .

 

Si vous vous intéressez au sujet, lisez la page wikipédia très bien faite. Plusieurs livres ont été publiés et sont disponibles dont La machine khmère rouge par Rithy Panh et Christine Chaumeau aux éditions Flammarion.

A noter que peu de KR ont été traduits en procès malgré toutes le horreurs commises. On estime en effet qu'entre 1,5 et 3 millions de personnes sont mortes en 4 années (il y avait moins de 8 millions d'habitants en 1975). Seules 4 personnes sont en prison. Le plus célèbre d'entre eux Duch, qui dirigeait le camp S-21 a connu son deuxième procès qui s'est terminé en début d'année.

Toutes les infos en français sont regroupées sur le site Procès des khmers rouges et dans le livre de Francis Deron Le procès des Khmers rouges aux éditions Gallimard (il date de 2009 et n'évoque donc que les premiers procès).

 

Je signale la sortie récente du film de Rithy Panh qui s'est intéressé à Duch avec la même question qui revient toujours quand on s'adresse à des boureaux : "comment peut-on ordonner la mort de milliers de personnes ?"

 

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21 janvier 2012 6 21 /01 /janvier /2012 21:36

TsukaharaBokuden.jpg

 

Cette semaine, j'ai terminé le drama japonais Tsukahara Bokuden dont j'avais parlé dans le bilan 2011. En sept épisodes seulement ce feuilleton s'attarde sur la jeunesse de Bokuden jusqu'à son "illumination" après une retraite de 1000 jours.

 

Difficile de trouver des informations fiables en français sur le personnage qui a vraiment existé (1489-1571) mais il semble que le drama aie pris quelques libertés avec la réalité. Toutefois, l'objectif était plus de transcrire son état d'esprit que sa vie et en cela le drama est une réussite.

A presque quarante ans, Masato Sakai est un peu âgé pour interpréter le jeune Shinaemon (il changera plusieurs fois de nom au cours de sa vie) mais il s'en sort très bien, comme toujours (à la fin du drama, son personnage a la trentaine comme lui). Une vingtaine d'années passent en 7 épisodes, le réalisateur n'a fait aucun effort sur le maquillage. Aucun acteur ne vieillit vraiment mais ce n'est pas génant car l'histoire est prenante. De plus, Sakai arrive à faire grandir et vieillir son personnage juste par son attitude et son jeu. Je trouve que ce rôle est une de ses meilleures performances. Il est aussi extrêmement impressionnant dans les scènes de combat qui paraissent très réalistes dans les mouvements (même si elles manquent d'effets spéciaux).

 

Côté histoire, les auteurs ont fait de Tsukahara un personnage concentré sur son art, qu'il veut maîtriser. Toutefois, au fil de ses rencontres et combats, il va être amené à réflechir sur l'art du sabre, la vie, la mort et sur lui-même.

Après être devenu le maître incontesté, reconnu par tous, il va aller jusqu'au bout en s'isolant du monde lorsqu'il effectuera une retraite spirituelle de 1000 jours. En effet, le deuxième aspect du drama est l'aspect religieux. La religion shintoïste fait du sabre de Kashima dont Bokuden est le dépositaire un don de Dieu. Shinaemon y croit et reçoit la révélation du dieu lui-même le dernier soir de sa retraite. C'est à ce moment que le drama s'arrête, Bokuden ayant pourtant vécu plus de 80 ans.

Le côté historique est bien rendu, que ce soit dans les dialogues, coiffures ou costumes, mais aussi dans les relations (familiales, claniques, avec le Shogun...). Les rivalités entre samuraïs sont mises en avant, tout comme l'état de guerre quasi permanent qui régnait à cette époque troublée.

 

tsukahara.jpg

 

Pour moi, le drama est donc une réussite, les auteurs/réalisateurs/producteurs ont bien réussi à montrer l'évolution spirituelle du personnage, qui reste l'un des grands maîtres historiques de l'art du sabre au Japon. C'était une gageure en si peu d'épisodes.

Côté acteurs, rien à redire... le choix de Masato Sakai était le bon, malgré son âge. Les seconds rôles sont tous excellents, dommage que le format n'ait pas permis d'approfondir plus leur personnalité.

Enfin, mon côté "fille" regrette que le personnage ne rencontre pas sa future femme au cours du drama (ce qui aurait été historiquement vrai) mais ce n'était pas  vraiment l'objectif de cette production de la NHK.

 

 

 

Site officiel + Bande annonce :

 

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